
Troupe de La Clef: «Building»
Un building. Treize étages. Consulting Conseil est une entreprise qui a pour mission absurde de coacher les coachs, de conseiller les conseillers. On se hisse dans l’immeuble au rythme d’une scène par étage: directeur, hôtesses, comptables, agents d’entretien, cadres, DRH, chargés de communication s’agitent, déjeunent, prospectent, «brainstorment» au rythme des crashs de pigeons sur leurs baies vitrées.
Léonore Confino, l’autrice, a reçu pour cette pièce caustique le Grand Prix du Théâtre en 2010. Voici ce qu’elle en dit: «Le texte n’exprime pas une colère contre l’entreprise en général mais contre les entreprises faibles qui n’ont pas de vision humaine à long terme. Certains employés ne sont plus des humains mais des “ressources humaines”, une matière première que certains s’autorisent à épuiser… Je suis partie de “clichés” (je n’aime pas le mot) pour les presser jusqu’à ce qu’ils s’écroulent. J’aime faire baver les clichés...»
Dans la version proposée par la Troupe de La Clef (troupe amateur de Sonceboz que l’on connaît bien), les trente-deux employés sont interprétés par quatre comédiennes et un comédien, accompagnés par un musicien qui contribue hautement à l’ambiance.
Montez donc dans cet ascenseur grinçant qui traverse la folie ordinaire d’une entreprise où la perte d’identité et d’idéaux s’accentue à mesure que l’on s’approche du pinacle… Une comédie féroce qui parlera sans doute à beaucoup!
Léonore Confino
Texte
Gian Gaffino
Mise en scène et scénographie
Carlo Albisetti, Laurence Berthoud, Sandrine Gagnebin, Sylvia Kocher, Catherine Massy
Jeu
Edgar Laubscher
Musique et sons
Matthieu Bueche
Lumière

Troupe de La Clef: «Building»
Un building. Treize étages. Consulting Conseil est une entreprise qui a pour mission absurde de coacher les coachs, de conseiller les conseillers. On se hisse dans l’immeuble au rythme d’une scène par étage: directeur, hôtesses, comptables, agents d’entretien, cadres, DRH, chargés de communication s’agitent, déjeunent, prospectent, «brainstorment» au rythme des crashs de pigeons sur leurs baies vitrées.
Léonore Confino, l’autrice, a reçu pour cette pièce caustique le Grand Prix du Théâtre en 2010. Voici ce qu’elle en dit: «Le texte n’exprime pas une colère contre l’entreprise en général mais contre les entreprises faibles qui n’ont pas de vision humaine à long terme. Certains employés ne sont plus des humains mais des “ressources humaines”, une matière première que certains s’autorisent à épuiser… Je suis partie de “clichés” (je n’aime pas le mot) pour les presser jusqu’à ce qu’ils s’écroulent. J’aime faire baver les clichés...»
Dans la version proposée par la Troupe de La Clef (troupe amateur de Sonceboz que l’on connaît bien), les trente-deux employés sont interprétés par quatre comédiennes et un comédien, accompagnés par un musicien qui contribue hautement à l’ambiance.
Montez donc dans cet ascenseur grinçant qui traverse la folie ordinaire d’une entreprise où la perte d’identité et d’idéaux s’accentue à mesure que l’on s’approche du pinacle… Une comédie féroce qui parlera sans doute à beaucoup!
Léonore Confino
Texte
Gian Gaffino
Mise en scène et scénographie
Carlo Albisetti, Laurence Berthoud, Sandrine Gagnebin, Sylvia Kocher, Catherine Massy
Jeu
Edgar Laubscher
Musique et sons
Matthieu Bueche
Lumière

Théâtre du Clos-Bernon: «Féminines»
La troupe de Courtelary présente une comédie fédératrice, militante et sensible, qui lui a valu le deuxième prix du concours organisé par la Fédération suisse des sociétés théâtrales d’amateurs en juin 2024. Les représentations au CCL seront les dernières de leur tournée, c’est donc le moment ou jamais de voir ou revoir cette magnifique prestation!
Chaque année, pour sa kermesse, le journal L’Union organise une attraction. En 1968, c’est un match de foot féminin. Des filles qui jouent au foot, quelle rigolade! À la surprise générale, beaucoup de femmes se présentent. Plus étonnant encore: elles jouent bien, elles courent vite. Elles sont plus libres sur le terrain qu’à l’usine ou dans leur couple. Soutenues par leurs entraîneurs, elles sont bien décidées à faire de cette blague l’aventure de leur vie.
Libre adaptation de l’histoire vraie de l’équipe féminine du Stade de Reims, inspirée par le témoignage des footballeuses, la pièce est bâtie d’éloquentes microfictions rebelles, prouvant au passage que la libération des femmes ne peut que changer les hommes en bien. Elle parle de sport, mais surtout des amitiés, de la liberté et de l’émancipation nées grâce à la force du collectif.
Pauline Bureau a été lauréate du Molière 2022 de meilleure autrice pour cette pièce, s’il fallait encore ajouter une bonne raison de s’y précipiter!
Pauline Bureau
Texte
Marion Rothhaar
Mise en scène
Marylène Bartlomé (Rose), Anne Beuchat (Jeannine, Mme Leroy), Jacques Beuchat (Paul Tabard), Olivier Gairaud (Titoune, contremaître, M. Leroy), Vanessa Oswald (Joana), Cécile Huguelet (Marie-Maude, Paulette), Véronique Vernez (Françoise, Sylvie), Eric Wichtermann (Rémy), Gérard Zürcher (Thibaut, Franck), Megane Zürcher (Marinette)
Jeu
Jacques Beuchat, Paul Vernez, Eric Wichtermann
Décors
Marcel Liengme, Emmanuel Vuilleumier, Eric Wichtermann
Régie

Théâtre du Clos-Bernon: «Féminines»
La troupe de Courtelary présente une comédie fédératrice, militante et sensible, qui lui a valu le deuxième prix du concours organisé par la Fédération suisse des sociétés théâtrales d’amateurs en juin 2024. Les représentations au CCL seront les dernières de leur tournée, c’est donc le moment ou jamais de voir ou revoir cette magnifique prestation!
Chaque année, pour sa kermesse, le journal L’Union organise une attraction. En 1968, c’est un match de foot féminin. Des filles qui jouent au foot, quelle rigolade! À la surprise générale, beaucoup de femmes se présentent. Plus étonnant encore: elles jouent bien, elles courent vite. Elles sont plus libres sur le terrain qu’à l’usine ou dans leur couple. Soutenues par leurs entraîneurs, elles sont bien décidées à faire de cette blague l’aventure de leur vie.
Libre adaptation de l’histoire vraie de l’équipe féminine du Stade de Reims, inspirée par le témoignage des footballeuses, la pièce est bâtie d’éloquentes microfictions rebelles, prouvant au passage que la libération des femmes ne peut que changer les hommes en bien. Elle parle de sport, mais surtout des amitiés, de la liberté et de l’émancipation nées grâce à la force du collectif.
Pauline Bureau a été lauréate du Molière 2022 de meilleure autrice pour cette pièce, s’il fallait encore ajouter une bonne raison de s’y précipiter!
Pauline Bureau
Texte
Marion Rothhaar
Mise en scène
Marylène Bartlomé (Rose), Anne Beuchat (Jeannine, Mme Leroy), Jacques Beuchat (Paul Tabard), Olivier Gairaud (Titoune, contremaître, M. Leroy), Vanessa Oswald (Joana), Cécile Huguelet (Marie-Maude, Paulette), Véronique Vernez (Françoise, Sylvie), Eric Wichtermann (Rémy), Gérard Zürcher (Thibaut, Franck), Megane Zürcher (Marinette)
Jeu
Jacques Beuchat, Paul Vernez, Eric Wichtermann
Décors
Marcel Liengme, Emmanuel Vuilleumier, Eric Wichtermann
Régie

Les Compagnons de la Tour: «La Panne» de Friedrich Dürrenmatt
La boucle est bouclée: nous sommes très heureux d’accueillir de nouveau les Compagnons de la Tour pour la dernière représentation de «La Panne». Créée au CCL en 2023, la pièce a depuis été présentée douze fois, dans la région, mais également au-delà de nos frontières, à Annecy. Bravo les amis! Metteur en scène emblématique de la troupe imérienne, André Schaffter nous livre ici son mot.
Le jour le plus long, c’est le «débarquement» d’Alfredo Traps, bien contre son gré, dans une étrange villa d’un petit village suisse où l’on tresse encore les fumiers! Panne de sa superbe voiture, panne d’hôtel où dormir, panne bientôt de sa raison au cours d’une folle nuit.
Quatre vieillards, un juge, un avocat, un procureur, un bourreau, tous à la retraite, s’amusent à jouer leurs anciens métiers: ils refont les célèbres procès historiques, Socrate, Jésus, Jeanne d’Arc, Dreyfus, et condamnent sans pitié. Lorsqu’ils ont la «chance» d’avoir de la matière vivante, ils ne s’en privent pas et c’est ce que l’infortuné Traps va bientôt apprendre à ses dépens, lui qui a été invité à passer la soirée et la nuit en compagnie de ces quatre magnifiques croulants, encore très vifs
d’esprit et dotés d’un appétit féroce… Car c’est au cours d’un banquet somptueux et de libations jouissives que tout va se nouer et se jouer!
L’ivresse va gagner tout le monde, les langues vont se délier, les défenses vont tomber, pour se retrouver au petit matin avec un condamné à mort, Alfredo Traps, victime involontaire d’une formidable machine de justice! Mais ce n’était qu’un jeu. Vraiment? À voir…
André Schaffter
Mise en scène
Eddy Strambini (Alfredo Traps), Pierre Gogniat (le juge), Roland Pelletier (le procureur), Jean-Christophe Dubail (l’avocat), James Kneubühler (Pilet), Laurence Santschi (Simone), Anne-Lise Kneubühler (Lily aux fourneaux)
Jeu
Thomas Loosli
Costumes
Macha Bulavina
Couturière
Nicole Grédy
Scénographie
Julien Froidevaux
Régie son et lumière
Maryline et Rémy Grimm
Maquillages et coiffures
Claude Rossel
Création sonore
Jean-Robert Schaffter
Affiche

UTOPIK FAMILY | «La Piccola Famiglia»
Que se cache-t-il derrière le linge blanc étendu séchant au soleil dans le quartier de San Ferdinando à Naples? Quelles histoires mêlant amours secrètes, haine, jalousie et clans mafieux s’y trament? Découvrez l’envers du décor de Napoli, la ville théâtre.
Deux familles rivales depuis toujours, Esposito et Giordano, se partagent le pouvoir dans le quartier. Tout les oppose, et chacune de ces familles mafieuses désire éliminer l’autre. Il y a aussi les scugnizzi, les enfants des rues qui se chamaillent et qui jouent dans le linge de Donna Maria, et le groupe de touristes perdus dans les méandres de la ville de Campanie. Dans une ambiance de trahison, de secrets et de haine familiale, et sur un air de tarantella, le public découvrira les histoires du quartier, les secrets d’amour et de pouvoir teintés de jalousie, l’église et les clans mafieux, le tout dans un tourbillon de saveurs italiennes.
Création collective des élèves des cours de théâtre d’Utopik Family, l’histoire est inventée à partir de séquences d’improvisations où les 34 élèves ont imaginé les scènes cocasses pouvant naître autour de la Piazza Salazar. Ils ont également réalisé les masques des personnages.
Entrée libre

Les Électrons Libres: «Court-circuit»
Les Électrons Libres, troupe de théâtre biennoise, présente sa toute nouvelle production intitulée «Court-circuit». Cette pièce promet de plonger le public dans un univers drôle et profond, absurde et touchant, où chacun pourrait reconnaître sa propre part de folie.
Où se situe la frontière entre le comportement exubérant d’une personne marginale et des troubles mentaux réels? Qu’est-ce qui rend fou? À quoi ressemble la folie? Quels sont les comportements absurdes, les délires, les propos incohérents? Ces interrogations servent de toile de fond à une histoire forcément un brin démente, qui se déroule au sein d’une clinique psychiatrique.
Dans ce lieu de vie hors du temps, équipe médicale, patients et patientes aux passés et aux personnalités différents se croisent, chaque individu étant confronté à ses propres «courts-circuits» émotionnels et existentiels. Chacun des personnages cherche à se reconnecter avec soi-même, à se libérer des entraves du passé et à trouver un chemin vers un avenir plus serein.
«Court-circuit» est un plongeon dans l’obscurité, aux sens propre et figuré, de nos vies. Une expérience théâtrale qui explore les méandres de l’esprit humain tout en offrant des moments à la fois très drôles et profondément touchants. La pièce met en lumière la capacité de l’être humain à se reconstruire, même au milieu du chaos.
Claudia Nuara
Écriture et mise en scène
Cyril Borel, Patrick Bourdon, Corinne Fellmann, Michel Giraudel, Jessica La Spada, Carine Lombardi, Debora Miceli Fusaro, Christine Petit, Sabine Ponti, Enza Sciré
Jeu
Sam-Elise Etienne
Voix off
Enza Sciré
Univers sonore
Tom Häderli
Lumières

Les Compagnons de la Tour: «La Panne»
Bon anniversaire les amis! Les Compagnons de la Tour fêtent leurs 40 ans. Un âge certain, peut-être, mais qui ne pèse pour autant en rien sur la dynamique et la créativité de la troupe imérienne qui, pour l’occasion, s’attaque à un monument de la littérature suisse: Friedrich Dürrenmatt et «sa» Panne. L’emblématique metteur en scène de longue date des Compagnons, André Schaffter, nous livre ici son mot.
Le jour le plus long, c’est le «débarquement» d’Alfredo Traps, bien contre son gré, dans une étrange villa d’un petit village suisse où l’on tresse encore les fumiers! Panne de sa superbe voiture, panne d’hôtel où dormir, panne bientôt de sa raison au cours d’une folle nuit. Quatre vieillards – un juge, un avocat, un procureur, un bourreau – tous à la retraite, s’amusent à jouer leurs anciens métiers: ils refont les célèbres procès historiques, Socrate, Jésus, Jeanne d’Arc, Dreyfus, et condamnent sans pitié. Lorsqu’ils ont la «chance» d’avoir de la matière vivante, ils ne s’en privent pas et c’est ce que l’infortuné Traps va bientôt apprendre à ses dépens, lui qui a été invité à passer la soirée et la nuit en compagnie de ces quatre magnifiques croulants, encore très vifs d’esprit et dotés d’un appétit féroce… Car c’est au cours d’un banquet somptueux et de libations jouissives que tout va se nouer et se jouer!
L’ivresse va gagner tout le monde, les langues vont se délier, les défenses vont tomber, pour se retrouver au petit matin avec un condamné à mort, Alfredo Traps, victime involontaire d’une formidable machine de justice!
Mais ce n’était qu’un jeu. Vraiment? À voir…
André Schaffter
Mise en scène
Eddy Strambini (Alfredo Traps), Pierre Gogniat (le juge), Roland Pelletier (le procureur), Jean-Christophe Dubail (l’avocat), James Kneubühler (Pilet), Laurence Santschi (Simone), Anne-Lise Kneubühler (Lily aux fourneaux)
Jeu
Thomas Loosli
Costumes
Macha Bulavina
Couturière
Nicole Grédy
Scénographie
Julien Froidevaux
Régie son et lumière
Maryline et Rémy Grimm
Maquillages et coiffures
Claude Rossel
Création sonore
Jean-Robert Schaffter
Affiche

Les Compagnons de la Tour: «La Panne»
Bon anniversaire les amis! Les Compagnons de la Tour fêtent leurs 40 ans. Un âge certain, peut-être, mais qui ne pèse pour autant en rien sur la dynamique et la créativité de la troupe imérienne qui, pour l’occasion, s’attaque à un monument de la littérature suisse: Friedrich Dürrenmatt et «sa» Panne. L’emblématique metteur en scène de longue date des Compagnons, André Schaffter, nous livre ici son mot.
Le jour le plus long, c’est le «débarquement» d’Alfredo Traps, bien contre son gré, dans une étrange villa d’un petit village suisse où l’on tresse encore les fumiers! Panne de sa superbe voiture, panne d’hôtel où dormir, panne bientôt de sa raison au cours d’une folle nuit. Quatre vieillards – un juge, un avocat, un procureur, un bourreau – tous à la retraite, s’amusent à jouer leurs anciens métiers: ils refont les célèbres procès historiques, Socrate, Jésus, Jeanne d’Arc, Dreyfus, et condamnent sans pitié. Lorsqu’ils ont la «chance» d’avoir de la matière vivante, ils ne s’en privent pas et c’est ce que l’infortuné Traps va bientôt apprendre à ses dépens, lui qui a été invité à passer la soirée et la nuit en compagnie de ces quatre magnifiques croulants, encore très vifs d’esprit et dotés d’un appétit féroce… Car c’est au cours d’un banquet somptueux et de libations jouissives que tout va se nouer et se jouer!
L’ivresse va gagner tout le monde, les langues vont se délier, les défenses vont tomber, pour se retrouver au petit matin avec un condamné à mort, Alfredo Traps, victime involontaire d’une formidable machine de justice!
Mais ce n’était qu’un jeu. Vraiment? À voir…
André Schaffter
Mise en scène
Eddy Strambini (Alfredo Traps), Pierre Gogniat (le juge), Roland Pelletier (le procureur), Jean-Christophe Dubail (l’avocat), James Kneubühler (Pilet), Laurence Santschi (Simone), Anne-Lise Kneubühler (Lily aux fourneaux)
Jeu
Thomas Loosli
Costumes
Macha Bulavina
Couturière
Nicole Grédy
Scénographie
Julien Froidevaux
Régie son et lumière
Maryline et Rémy Grimm
Maquillages et coiffures
Claude Rossel
Création sonore
Jean-Robert Schaffter
Affiche

Les Compagnons de la Tour: «La Panne»
Bon anniversaire les amis! Les Compagnons de la Tour fêtent leurs 40 ans. Un âge certain, peut-être, mais qui ne pèse pour autant en rien sur la dynamique et la créativité de la troupe imérienne qui, pour l’occasion, s’attaque à un monument de la littérature suisse: Friedrich Dürrenmatt et «sa» Panne. L’emblématique metteur en scène de longue date des Compagnons, André Schaffter, nous livre ici son mot.
Le jour le plus long, c’est le «débarquement» d’Alfredo Traps, bien contre son gré, dans une étrange villa d’un petit village suisse où l’on tresse encore les fumiers! Panne de sa superbe voiture, panne d’hôtel où dormir, panne bientôt de sa raison au cours d’une folle nuit. Quatre vieillards – un juge, un avocat, un procureur, un bourreau – tous à la retraite, s’amusent à jouer leurs anciens métiers: ils refont les célèbres procès historiques, Socrate, Jésus, Jeanne d’Arc, Dreyfus, et condamnent sans pitié. Lorsqu’ils ont la «chance» d’avoir de la matière vivante, ils ne s’en privent pas et c’est ce que l’infortuné Traps va bientôt apprendre à ses dépens, lui qui a été invité à passer la soirée et la nuit en compagnie de ces quatre magnifiques croulants, encore très vifs d’esprit et dotés d’un appétit féroce… Car c’est au cours d’un banquet somptueux et de libations jouissives que tout va se nouer et se jouer!
L’ivresse va gagner tout le monde, les langues vont se délier, les défenses vont tomber, pour se retrouver au petit matin avec un condamné à mort, Alfredo Traps, victime involontaire d’une formidable machine de justice!
Mais ce n’était qu’un jeu. Vraiment? À voir…
André Schaffter
Mise en scène
Eddy Strambini (Alfredo Traps), Pierre Gogniat (le juge), Roland Pelletier (le procureur), Jean-Christophe Dubail (l’avocat), James Kneubühler (Pilet), Laurence Santschi (Simone), Anne-Lise Kneubühler (Lily aux fourneaux)
Jeu
Thomas Loosli
Costumes
Macha Bulavina
Couturière
Nicole Grédy
Scénographie
Julien Froidevaux
Régie son et lumière
Maryline et Rémy Grimm
Maquillages et coiffures
Claude Rossel
Création sonore
Jean-Robert Schaffter
Affiche

Théâtre Volte-Face: «Une heure de tranquillité»
Michel, passionné de jazz, vient de dénicher un album rare qu’il rêve d’écouter tranquillement dans son salon. Mais le monde entier semble s’être ligué contre lui; sa femme choisit justement ce moment pour lui faire une révélation inopportune, son fils débarque à l’improviste, un de ses amis frappe à sa porte… Manipulateur, menteur, Michel est prêt à tout pour avoir la paix. Est-il encore possible, aujourd’hui, de disposer d’une petite heure de tranquillité?
Après avoir obtenu, en 2019, la troisième place lors de la finale du concours amateur de la Fédération Suisse des Sociétés Théâtrales pour sa pièce «Un petit jeu sans conséquence», la troupe Volte-Face a dû renoncer à un nouveau projet en raison des restrictions sanitaires. C’est donc avec une joie immense qu’elle nous présente sa dernière pièce, une comédie contemporaine pleine d’humour, de vivacité et de bonne humeur.
«Une heure de tranquillité», pièce de Florian Zeller (basée sur une idée originale de Simon Gray, «Otherwise Engaged»), a été adaptée au cinéma en 2014 par Patrice Leconte avec notamment Christian Clavier et Carole Bouquet. Cette pièce, dans le registre du vaudeville et de la farce, est jouée par six comédiens régionaux, dont l’Imérienne Vanessa Oswald, cofondatrice de la troupe en 2007, et mise en scène par Nathalie Sandoz, fidèle à la troupe depuis des années. C’est un délicieux moment de rire et de convivialité que nous vous proposons pour cette «Heure de tranquillité».
Lucas Ballabene, Thibault Béguin, Stéphane Fix, Julian Muller, Vanessa Oswald, Rémy Pétremand, Tania Villagra
Jeu
Nathalie Sandoz
Mise en scène
Vincent Orlandini
Technique

Théâtre Volte-Face: «Une heure de tranquillité»
Michel, passionné de jazz, vient de dénicher un album rare qu’il rêve d’écouter tranquillement dans son salon. Mais le monde entier semble s’être ligué contre lui; sa femme choisit justement ce moment pour lui faire une révélation inopportune, son fils débarque à l’improviste, un de ses amis frappe à sa porte… Manipulateur, menteur, Michel est prêt à tout pour avoir la paix. Est-il encore possible, aujourd’hui, de disposer d’une petite heure de tranquillité?
Après avoir obtenu, en 2019, la troisième place lors de la finale du concours amateur de la Fédération Suisse des Sociétés Théâtrales pour sa pièce «Un petit jeu sans conséquence», la troupe Volte-Face a dû renoncer à un nouveau projet en raison des restrictions sanitaires. C’est donc avec une joie immense qu’elle nous présente sa dernière pièce, une comédie contemporaine pleine d’humour, de vivacité et de bonne humeur.
«Une heure de tranquillité», pièce de Florian Zeller (basée sur une idée originale de Simon Gray, «Otherwise Engaged»), a été adaptée au cinéma en 2014 par Patrice Leconte avec notamment Christian Clavier et Carole Bouquet. Cette pièce, dans le registre du vaudeville et de la farce, est jouée par six comédiens régionaux, dont l’Imérienne Vanessa Oswald, cofondatrice de la troupe en 2007, et mise en scène par Nathalie Sandoz, fidèle à la troupe depuis des années. C’est un délicieux moment de rire et de convivialité que nous vous proposons pour cette «Heure de tranquillité».
Lucas Ballabene, Thibault Béguin, Stéphane Fix, Julian Muller, Vanessa Oswald, Rémy Pétremand, Tania Villagra
Jeu
Nathalie Sandoz
Mise en scène
Vincent Orlandini
Technique