
Laura Chaignat: «Les amis, ça s’arrose combien de fois par semaine?»
Tout commence par une rupture. Un cœur brisé. On connaît toutes et tous la douleur d’un chagrin d’amour et les effets bons ou mauvais qui en découlent. Qu’en est-il du chagrin d’amitié? Dans son nouveau seule-en-scène, Laura Chaignat affronte avec un ton bien à elle la fin abrupte et non consentie d’une amitié: «J’ai plus la main verte que la main amicale!».
Quelle place donne-t-on à l’amitié dans nos vies? Pourquoi n’ouvre-t-on pas de compte commun avec une amie? Quand deux amis se mettent en couple, est-ce qu’on les perd un peu? Des amitiés peuvent-elles naître autour d’une bière sans alcool? Laura Chaignat, en Bridget Jones de l’amitié, décide d’aller gratter là où ça pique. Nourrie des réflexions philosophiques d’Aristote, Geoffroy de Lagasnerie ou Alice Raybaud, elle nous invite à mettre à l’épreuve quelques idées reçues. Et si l’amitié était l’unique solution au sauvetage de l’humanité ?
La Cie Poisson Scorpion naît en 2021 aux Sairains, tout comme Laura Chaignat 30 ans plus tôt. Dans un premier seule-en-scène – «Presque Phèdre», créé au Théâtre Boulimie en 2023 – la jeune autrice-interprète jurassienne explore ses origines campagnardes, ses ambitions dévorantes et son amour de la scène. Son écriture, ancrée dans sa biographie personnelle, oscille avec finesse entre rires et émotions dans une proposition hybride à la croisée entre théâtre et humour accueillie à bras ouverts par le public.
Laura Chaignat
Écriture et jeu
Marie Fourquet
Dramaturgie
Nathalie Papin
Collaboration à l’écriture
Marc Woog
Mise en scène
Robert Sandoz
Collaboration artistique
Aude Bourrier
Œil extérieur
Valère Veya
Création son
Psycho Weazel
Musique
Jérôme Bueche
Création lumières
Lydia Besson
Création costumes
Jacqueline Rossé
Couture
Olivier Charmillot
Régies son, lumière, générale
Cristina Martinoni
Administration et production
Cie Poisson Scorpion, Théâtre Benno Besson, Théâtre du Jura
Coproduction

Laura Chaignat: «Les amis, ça s’arrose combien de fois par semaine?»
Tout commence par une rupture. Un cœur brisé. On connaît toutes et tous la douleur d’un chagrin d’amour et les effets bons ou mauvais qui en découlent. Qu’en est-il du chagrin d’amitié? Dans son nouveau seule-en-scène, Laura Chaignat affronte avec un ton bien à elle la fin abrupte et non consentie d’une amitié: «J’ai plus la main verte que la main amicale!».
Quelle place donne-t-on à l’amitié dans nos vies? Pourquoi n’ouvre-t-on pas de compte commun avec une amie? Quand deux amis se mettent en couple, est-ce qu’on les perd un peu? Des amitiés peuvent-elles naître autour d’une bière sans alcool? Laura Chaignat, en Bridget Jones de l’amitié, décide d’aller gratter là où ça pique. Nourrie des réflexions philosophiques d’Aristote, Geoffroy de Lagasnerie ou Alice Raybaud, elle nous invite à mettre à l’épreuve quelques idées reçues. Et si l’amitié était l’unique solution au sauvetage de l’humanité ?
La Cie Poisson Scorpion naît en 2021 aux Sairains, tout comme Laura Chaignat 30 ans plus tôt. Dans un premier seule-en-scène – «Presque Phèdre», créé au Théâtre Boulimie en 2023 – la jeune autrice-interprète jurassienne explore ses origines campagnardes, ses ambitions dévorantes et son amour de la scène. Son écriture, ancrée dans sa biographie personnelle, oscille avec finesse entre rires et émotions dans une proposition hybride à la croisée entre théâtre et humour accueillie à bras ouverts par le public.
Laura Chaignat
Écriture et jeu
Marie Fourquet
Dramaturgie
Nathalie Papin
Collaboration à l’écriture
Marc Woog
Mise en scène
Robert Sandoz
Collaboration artistique
Aude Bourrier
Œil extérieur
Valère Veya
Création son
Psycho Weazel
Musique
Jérôme Bueche
Création lumières
Lydia Besson
Création costumes
Jacqueline Rossé
Couture
Olivier Charmillot
Régies son, lumière, générale
Cristina Martinoni
Administration et production
Cie Poisson Scorpion, Théâtre Benno Besson, Théâtre du Jura
Coproduction

Laura Chaignat: «Les amis, ça s’arrose combien de fois par semaine?» (supplémentaire)
Tout commence par une rupture. Un cœur brisé. On connaît toutes et tous la douleur d’un chagrin d’amour et les effets bons ou mauvais qui en découlent. Qu’en est-il du chagrin d’amitié? Dans son nouveau seule-en-scène, Laura Chaignat affronte avec un ton bien à elle la fin abrupte et non consentie d’une amitié: «J’ai plus la main verte que la main amicale!».
Quelle place donne-t-on à l’amitié dans nos vies? Pourquoi n’ouvre-t-on pas de compte commun avec une amie? Quand deux amis se mettent en couple, est-ce qu’on les perd un peu? Des amitiés peuvent-elles naître autour d’une bière sans alcool? Laura Chaignat, en Bridget Jones de l’amitié, décide d’aller gratter là où ça pique. Nourrie des réflexions philosophiques d’Aristote, Geoffroy de Lagasnerie ou Alice Raybaud, elle nous invite à mettre à l’épreuve quelques idées reçues. Et si l’amitié était l’unique solution au sauvetage de l’humanité ?
La Cie Poisson Scorpion naît en 2021 aux Sairains, tout comme Laura Chaignat 30 ans plus tôt. Dans un premier seule-en-scène – «Presque Phèdre», créé au Théâtre Boulimie en 2023 – la jeune autrice-interprète jurassienne explore ses origines campagnardes, ses ambitions dévorantes et son amour de la scène. Son écriture, ancrée dans sa biographie personnelle, oscille avec finesse entre rires et émotions dans une proposition hybride à la croisée entre théâtre et humour accueillie à bras ouverts par le public.
Laura Chaignat
Écriture et jeu
Marie Fourquet
Dramaturgie
Nathalie Papin
Collaboration à l’écriture
Marc Woog
Mise en scène
Robert Sandoz
Collaboration artistique
Aude Bourrier
Œil extérieur
Valère Veya
Création son
Psycho Weazel
Musique
Jérôme Bueche
Création lumières
Lydia Besson
Création costumes
Jacqueline Rossé
Couture
Olivier Charmillot
Régies son, lumière, générale
Cristina Martinoni
Administration et production
Cie Poisson Scorpion, Théâtre Benno Besson, Théâtre du Jura
Coproduction

Vanessa Lépine & Julie Conti | Week-end humour
Elles incarnent l’avenir de la scène humoristique romande, catégorie stand-up. Elles sont jeunes et n’ont pas leur langue dans leur poche: Vanessa Lépine et Julie Conti se partageront la scène de la Salle de spectacles de Saint-Imier, le samedi 15 mars 2025.
Les femmes humoristes sont (encore) sous-représentées dans le milieu du stand-up suisse. Fort de ce constat, le CCL a souhaité leur donner une place particulière à l’occasion de la 10e édition de son week-end humour, en réunissant sur la même scène deux des plus talentueuses et prometteuses artistes de la scène humoristique romande. Ces trentenaires trouvent leur inspiration dans la vie de tous les jours: les relations, le dating, la maternité et la paternité, les stéréotypes de genre dans le monde du travail, la contraception… elles sauront mettre le doigt sur nos idées reçues – autant dire, là où ça fait mal.
Vanessa Lépine est Québécoise. Elle a atterri en Suisse il y a dix ans, un peu par hasard («tombée en amour», comme ils disent). Elle est rapidement devenue incontournable dans le paysage humoristique suisse des comedy clubs. Très inspirée du stand-up américain, elle rode son premier spectacle en Europe et en Amérique du Nord, en français et en anglais.
Qualifiée de «dominatrice motivationnelle» par ses soumis et autres adeptes, Vanessa interroge la véritable nature de l’amour de soi dans un monde envahi par les produits de beauté et les pressions sociales. Son humour est un mélange unique de chaleur humaine et d’hilarité, qui nous emmène dans un tourbillon constitué d’amour et des idiosyncrasies de la vie.
Julie Conti, humoriste genevoise au franc-parler, s’impose comme une voix incontournable du stand-up romand. Révélée au Montreux Comedy 2022, elle conquiert rapidement le public avec un humour cinglant et engagé. Inspirée par des figures comme Blanche Gardin, Julie revendique le droit de parler de tout, tout en mêlant sincérité et vulnérabilité. Elle jongle avec audace entre parentalité, féminisme, stéréotypes de genre et critiques sociétales en prenant plaisir à bousculer les conventions et à déclencher des réflexions. Forte de sa présence scénique et de son écriture acérée, elle sait capter l'attention du public avec une bonhomie déconcertante. Ses chroniques incisives, que ce soit sur scène ou à la radio (One FM et France Inter), continuent de charmer un public conquis par son authenticité.

Marie-Thérèse Porchet | Week-end humour
Cela a beau être un jeune jubilé, c’est pourtant déjà devenu un rendez-vous incontournable dans la région. Et comme VOUS faire plaisir NOUS fait plaisir, nous vous offrons, pour célébrer ce dixième anniversaire, LA grande dame de l’humour qui fait rire la Suisse romande depuis déjà trente ans: Marie-Thérèse Porchet!
Elle nous avait déjà honorés de sa venue en 2005 et c’est avec énormément de plaisir que nous l’accueillerons de nouveau en mars prochain pour fêter dignement ce double anniversaire: ses trente ans (de carrière!) et nos dix ans de week-end humour.
Marie-Thérèse est donc de retour, mais elle n’est pas contente! Durant des mois, toute la presse n’en a eu que pour son collègue chauve qui est tombé dans le coma… Au point d’en oublier le plus important: célébrer son trentenaire (de scène)! Pour y remédier, elle foulera les planches de la Salle de spectacles à l’occasion de notre week-end humour 2025.
Joseph Gorgoni
Jeu
Joseph Gorgoni et Sébastien Corthésy
Textes
Sébastien Corthésy
Mise en scène
Alain Boon
Lumières

Frédéric Recrosio: «Durer, choisir et chanter des Berceuses»
Neuf ans à attendre un nouveau spectacle de Frédéric Recrosio. Mais il a fait quoi pendant tout ce temps? Le syndrome de la page blanche? Non. Il a vraiment vécu sa paternité. «Lorsque tu deviens parent, ton monde rapetisse, tes enjeux se tempèrent, il y a un repli un petit peu sur le cocon. Vu l’époque dans laquelle on vit, ça me va aussi.»
Recrosio est serein. Il dit qu’avant, son inspiration venait de ses troubles existentiels: «j’ai créé des solos sur le couple, la sexualité, la crise de la quarantaine. Maintenant, je n’ai plus qu’un problème: les enfants. Il faut les nourrir, les consoler et les bercer. J’y trouve une grande joie.»
Le déclic pour son nouveau spectacle a été de revisiter les différents âges de la vie où l’on peut être malheureux: «Je reviens sur plusieurs séquences de vie pour m’en moquer et je les mets en parallèle avec ma situation familiale actuelle où je n’ai plus le temps pour des délires sentimentaux ou des questionnements existentiels.»
Frédéric Recrosio a décidé de raconter l’histoire d’un gars qui, après avoir bien profité, à chaque âge, des mille et une raisons qu’il avait d’être malheureux, entre dans une partie de sa vie où il devient difficile de trouver des raisons de l’être encore. «Durer, choisir et chanter des Berceuses» se veut la démonstration qu’il n’est pas possible d’être heureux avant 50 ans.
Frédéric Recrosio
Conception, texte et jeu
Yann Marguet
Accompagnement du texte et mise en scène
Lorenzo Malaguerra
Interlocuteur plateau
Carine Corajoud
Dramaturgie
Jean-Etienne Bettler
Création lumières
Xavier Weissbrodt
Création son
Alain Roche
Musiques

Frédéric Recrosio: «Durer, choisir et chanter des Berceuses»
Neuf ans à attendre un nouveau spectacle de Frédéric Recrosio. Mais il a fait quoi pendant tout ce temps? Le syndrome de la page blanche? Non. Il a vraiment vécu sa paternité. «Lorsque tu deviens parent, ton monde rapetisse, tes enjeux se tempèrent, il y a un repli un petit peu sur le cocon. Vu l’époque dans laquelle on vit, ça me va aussi.»
Recrosio est serein. Il dit qu’avant, son inspiration venait de ses troubles existentiels: «j’ai créé des solos sur le couple, la sexualité, la crise de la quarantaine. Maintenant, je n’ai plus qu’un problème: les enfants. Il faut les nourrir, les consoler et les bercer. J’y trouve une grande joie.»
Le déclic pour son nouveau spectacle a été de revisiter les différents âges de la vie où l’on peut être malheureux: «Je reviens sur plusieurs séquences de vie pour m’en moquer et je les mets en parallèle avec ma situation familiale actuelle où je n’ai plus le temps pour des délires sentimentaux ou des questionnements existentiels.»
Frédéric Recrosio a décidé de raconter l’histoire d’un gars qui, après avoir bien profité, à chaque âge, des mille et une raisons qu’il avait d’être malheureux, entre dans une partie de sa vie où il devient difficile de trouver des raisons de l’être encore. «Durer, choisir et chanter des Berceuses» se veut la démonstration qu’il n’est pas possible d’être heureux avant 50 ans.
Frédéric Recrosio
Conception, texte et jeu
Yann Marguet
Accompagnement du texte et mise en scène
Lorenzo Malaguerra
Interlocuteur plateau
Carine Corajoud
Dramaturgie
Jean-Etienne Bettler
Création lumières
Xavier Weissbrodt
Création son
Alain Roche
Musiques


Michel Boujenah | Week-end humour
Quelques nouvelles places mises en vente aujourd’hui 12 mars 😎


Laura Chaignat: «Presque Phèdre»
«Évidemment, ce spectacle sera drôle, léger, plein d’anecdotes aussi absurdes que véridiques, à l’image de mon enfance et de mon parcours ! Mais j’aimerais, derrière cet aspect comique, soulever quelques questionnements et thématiques qui me concernent directement, comme le droit à l’ambition en tant que fille issue d’un milieu rural, le complexe de la légitimité, le rapport à l’exil, etc.»
On l’a entendue chanter et jouer du violon dans le Ska Nerfs de Félicien Donzé, on a rigolé avec elle aux Dicodeurs. Elle nous a réveillés à La Matinale de Couleur 3, elle a enseigné le théâtre aux écoliers jurassiens, joué dans des séries. Et puis, essoufflée par ce rythme, elle éprouve le besoin d’écrire. Elle décroche une résidence d’écriture à Paris: «Je veux écrire et incarner un spectacle. Mon spectacle. Revenir à mon premier amour et prendre le temps d’écrire pour le théâtre. Loin des effets chronophages d’une émission radiophonique quotidienne. Je veux raconter mon histoire, fouiller dans mon passé, mon parcours, mes échecs et mes insatisfactions.»
Sur scène, l’enfant des Franches-Montagnes aborde avec humour et sincérité les thèmes liés à la famille, au milieu culturel et social. Elle se penche sur sa difficulté à oser rêver et s’affirmer. A-t-elle le droit d’être ambitieuse, elle, la fille de la campagne? Après une première série de représentations à Boulimie et au Théâtre du Jura, le public est là, le succès aussi. C’est au CCL qu’elle reprend cet automne la suite de sa tournée. Ne ratez pas cette magnifique occasion de voir Laura Chaignat sur notre scène, ne serait-ce que pour ne pas regretter d’avoir manqué celle que l’on peut d’ores et déjà qualifier de phénomène de la scène jurassienne.
Laura Chaignat
Texte et jeu
Marie Fourquet
Dramaturgie
Aude Bourrier et Robert Sandoz
Mise en scène
Lionel Frésard
Regard extérieur
Serge Perret
Scénographie
Jérôme Bueche
Création lumières
Cee-Roo
Composition musicale
Valère Veya
Habillage sonore
Lydia Besson
Création costumes
Simon Isely
Régies
Une coproduction La Cie Poisson Scorpion, Théâtre Boulimie et Théâtre du Jura


Laura Chaignat: «Presque Phèdre»
«Évidemment, ce spectacle sera drôle, léger, plein d’anecdotes aussi absurdes que véridiques, à l’image de mon enfance et de mon parcours ! Mais j’aimerais, derrière cet aspect comique, soulever quelques questionnements et thématiques qui me concernent directement, comme le droit à l’ambition en tant que fille issue d’un milieu rural, le complexe de la légitimité, le rapport à l’exil, etc.»
On l’a entendue chanter et jouer du violon dans le Ska Nerfs de Félicien Donzé, on a rigolé avec elle aux Dicodeurs. Elle nous a réveillés à La Matinale de Couleur 3, elle a enseigné le théâtre aux écoliers jurassiens, joué dans des séries. Et puis, essoufflée par ce rythme, elle éprouve le besoin d’écrire. Elle décroche une résidence d’écriture à Paris: «Je veux écrire et incarner un spectacle. Mon spectacle. Revenir à mon premier amour et prendre le temps d’écrire pour le théâtre. Loin des effets chronophages d’une émission radiophonique quotidienne. Je veux raconter mon histoire, fouiller dans mon passé, mon parcours, mes échecs et mes insatisfactions.»
Sur scène, l’enfant des Franches-Montagnes aborde avec humour et sincérité les thèmes liés à la famille, au milieu culturel et social. Elle se penche sur sa difficulté à oser rêver et s’affirmer. A-t-elle le droit d’être ambitieuse, elle, la fille de la campagne? Après une première série de représentations à Boulimie et au Théâtre du Jura, le public est là, le succès aussi. C’est au CCL qu’elle reprend cet automne la suite de sa tournée. Ne ratez pas cette magnifique occasion de voir Laura Chaignat sur notre scène, ne serait-ce que pour ne pas regretter d’avoir manqué celle que l’on peut d’ores et déjà qualifier de phénomène de la scène jurassienne.
Laura Chaignat
Texte et jeu
Marie Fourquet
Dramaturgie
Aude Bourrier et Robert Sandoz
Mise en scène
Lionel Frésard
Regard extérieur
Serge Perret
Scénographie
Jérôme Bueche
Création lumières
Cee-Roo
Composition musicale
Valère Veya
Habillage sonore
Lydia Besson
Création costumes
Simon Isely
Régies
Une coproduction La Cie Poisson Scorpion, Théâtre Boulimie et Théâtre du Jura


Stéphane Guillon sur scène
Mis à la diète pour cause de Covid-19, Stéphane Guillon n’a pas pu dire de méchancetés pendant plus de dix-huit mois. Un sevrage dur, éprouvant, inhabituel. Alors que certains ne pouvaient plus cuisiner, faire des cocktails, vendre des vêtements… Guillon ne pouvait plus étriller son prochain.
Saint-Imier, terre du rire? Assurément oui, à voir le nombre de grands humoristes ayant foulé les planches des salles imériennes: Gaspard Proust, Raymond Devos, Jean-Marie Bigard, Anne Roumanoff, Sol, Virginie Hocq… et quasi tous les excellents humoristes suisses. Le CCL peut être fier d’avoir son pied à terre à la nouvelle rue d’la Zouc!
Donc, encore une star à la salle de spectacles: Stéphane Guillon. Sa plume au vitriol et son humour corrosif font le bonheur de tout le monde francophone, que ce soit sur scène, à la TV ou lors de ses chroniques radio. Ce n’est pas par hasard qu’on le surnomme «Dark Vanneur»!
Stéphane Guillon aime bousculer. Il excelle dans le «rire interdit». Plus le monde va mal, meilleurs sont ses textes. Il est celui qui s’accorde une liberté totale, cinglante, mordante. Au point où il dit payer très, très cher sa liberté de parole.
Dans ce spectacle, il analyse, décortique, compile dix-huit mois d’absurdités, de non-sens, de revirements comme rarement une société n’en avait produit.
Stéphane Guillon
Écriture et jeu
Anouche Setbon
Mise en scène
Thomas Costerg
Lumières
KI M’AIME ME SUIVE et 63 PRODUCTIONS
Production
Spectacle déconseillé aux moins de 15 ans.

Gabriel Tornay: «Le Mentaliste retrouve le temps perdu (chapitre 3)»
Le mentalisme est une forme d’illusionnisme où le magicien ne joue pas à torturer les cartes, les anneaux ou les lapins, mais l’esprit des spectateurs – votre esprit! Depuis 2013, Gabriel Tornay est «Le Mentaliste». Son deuxième opus, «Le Mentaliste se confie au hasard», nous avait conquis en 2017. Nous avions perdu pied tout en prenant le nôtre…
Nous sommes ravis d’accueillir cette saison ce troisième chapitre, qui nous ouvre à nouveau les portes de l’univers et de l’intimité du «Mentaliste». Dans ce nouveau spectacle, il retrouve le temps perdu en discutant avec Sophie qui bouquine tranquillement au parc, sur un banc. Cette rencontre inattendue le replonge dans ses souvenirs d’enfance.
Au fil d’un récit composé de flashbacks, il se raconte et nous invite à venir l’assister dans de surprenantes expériences autour des thèmes qui lui sont chers, avec son Rubik’s Cube, un album Panini, ses vieux vinyles ou les Disney de son enfance pour accessoires.
Gabriel Tornay, comme une machine à remonter le temps, nous propose un voyage dans le passé, prometteur de futurs souvenirs.
Installez-vous confortablement et bouclez vos ceintures; destination: les années 80!
Gabriel Tornay
Le Mentaliste
Dimitri Anzules
Mise en scène
Fanny Künzler et Pierre Aucaigne
Personnages à l’écran
Johan Perruchoud
Vidéo
Tom Wahli
Animation
Jacques Zürcher
Sons
Loann Gaillard
Décor
Michael Rigolet
Lumières
Noémie Pfiffner
Régies


Gabriel Tornay: «Le Mentaliste retrouve le temps perdu (chapitre 3)»
Le mentalisme est une forme d’illusionnisme où le magicien ne joue pas à torturer les cartes, les anneaux ou les lapins, mais l’esprit des spectateurs – votre esprit! Depuis 2013, Gabriel Tornay est «Le Mentaliste». Son deuxième opus, «Le Mentaliste se confie au hasard», nous avait conquis en 2017. Nous avions perdu pied tout en prenant le nôtre…
Nous sommes ravis d’accueillir cette saison ce troisième chapitre, qui nous ouvre à nouveau les portes de l’univers et de l’intimité du «Mentaliste». Dans ce nouveau spectacle, il retrouve le temps perdu en discutant avec Sophie qui bouquine tranquillement au parc, sur un banc. Cette rencontre inattendue le replonge dans ses souvenirs d’enfance.
Au fil d’un récit composé de flashbacks, il se raconte et nous invite à venir l’assister dans de surprenantes expériences autour des thèmes qui lui sont chers, avec son Rubik’s Cube, un album Panini, ses vieux vinyles ou les Disney de son enfance pour accessoires.
Gabriel Tornay, comme une machine à remonter le temps, nous propose un voyage dans le passé, prometteur de futurs souvenirs.
Installez-vous confortablement et bouclez vos ceintures; destination: les années 80!
Gabriel Tornay
Le Mentaliste
Dimitri Anzules
Mise en scène
Fanny Künzler et Pierre Aucaigne
Personnages à l’écran
Johan Perruchoud
Vidéo
Tom Wahli
Animation
Jacques Zürcher
Sons
Loann Gaillard
Décor
Michael Rigolet
Lumières
Noémie Pfiffner
Régies
